En octobre de cette année 2021, DierAnimal a officiellement rejoint le Plant Based Treaty, le traité international sur les produits végétaux.
Complétant la CCNUCC/l’accord de Paris, ce traité est un traité international novateur et le premier du genre à placer les systèmes alimentaires au cœur de la lutte contre la crise climatique. Le traité vise à mettre un terme à la dégradation généralisée d’écosystèmes critiques par l’agriculture animale, à promouvoir le passage à des régimes alimentaires plus sains et durables à base de plantes et à inverser activement les dommages causés aux fonctions planétaires, aux services écosystémiques et à la biodiversité.
Les trois principes
Le traité sur les aliments végétaux repose sur trois principes fondamentaux :
Lâcher-prise :
Arrêter la croissance du problème. Aucun changement d’affectation des sols, y compris la déforestation, pour l’agriculture animale.
Rediriger :
Éliminer les causes du problème. Promouvoir les aliments d’origine végétale et passer activement des systèmes alimentaires d’origine animale à ceux d’origine végétale.
Restaurer :
Guérir activement le problème tout en renforçant la résilience et en atténuant le changement climatique. Restaurer les écosystèmes clés et reboiser la planète.
Entre-temps, plus de 500 organisations et 340 entreprises ont déjà adhéré à ces principes fondamentaux.
Que pouvez-vous faire ?
Soutenez le PlantBasedTreaty et lisez plus sur : www.plantbasedtreaty.org Rejoignez le mouvement international des partis animalistes, en pleine expansion, qui a depuis longtemps fait de la transition vers un système alimentaire à base de plantes l’un de ses principaux objectifs. Devenez membre de DierAnimal. Signez la pétition pour un nouveau système alimentaire via le lien ci-dessous. https://www.partyfortheanimals.com/en/petitions/demand-a-healthy-and-compassionate-food-system #dieranimal #plantbased #vegan #Foodrevolution #animalpolitics
Voilà ce qui montre bien l’état des lieux des ministres du Bien-être Animal de ce pays. Quand fin 2021, la ministre wallonne du BEA Céline Tellier, après avoir vu quelques images, « s’étonne » et se montre « choquée » de la cruauté dans le gavage, et décide de … mener ENCORE une enquête. Mais dites donc, quelle diligence à vouloir finir la souffrance ! Il n’y a pas de cruauté accessoire à rechercher dans les pratiques de gavage, c’est le gavage en soi de A à Z tout court, et la détention des canards en cages qui sont cruelles. Scientifiquement prouvés, et désapprouvés par une majorité de la population.
Abus
La production du foie gras a déjà été interdite en Flandre et en région bruxelloise. Le comportement de la ministre Tellier montre comment cette compétence ministérielle du BEA dans son état actuel n’a rien à voir avec ce qui a le potentiel d’être un réel intérêt et engagement pour les animaux et leurs conditions de vie. Il est profondément choquant, que des ministres du BEA ne sont même pas convaincu.e.s eux-mêmes que le gavage forcé est de l’abus. Il est profondément choquant, que les ministres qui ont dans leurs mains le pouvoir pour changer le destin et la réalité, ici et maintenant, ne l’utilisent pas. Alors il s’agit des mauvaises personnes à la mauvaise position.
Interdiction du commerce
Note finale importante: il est impératif de non seulement interdire la production du foie gras (sur le territoire belge et un maximum autre part), mais également d’enlever ces produits pour une fois et pour toujours du commerce, et les rendre illegaux. Car il ne s’agit pas de délocaliser la cruauté vers des régions où les « normes » sont encore pires qu’ici. La terre a besoin d’un entrepreneuriat éthique, durable et respectueux de tous les êtres vivants.
Que pouvez-vous faire ?
Optez pour des alternatives végétales si vous voulez absolument vous soumettre à cette tradition gustative.
Refusez le foie gras si on vous le propose et expliquez poliment pourquoi.
Ensemble, choisissons un meilleur monde pour demain, où tous les être vivants seront respectés.
Par vos choix, vous créez ce monde dès aujourd’hui.
Comment les députés européens belges ont-ils voté sur la politique agricole européenne ?
Proposition rejetée
270 Milliards d’euros, un tiers de l’ensemble du budget européen, sont consacrés aux subventions agricoles ! L’ultime proposition, initiée entre autres par le Parti néerlandais pour les animaux, visant à retirer de la table le projet de politique agricole commune (PAC), a été rejetée le 23 novembre 2021. Bien que le Parlement vote plus « vert » qu’auparavant, c’était un résultat attendu. Cela signifie que le « Green Deal » de l’UE se transforme en « Black Deal » pour le bien-être des animaux, l’environnement et les petits agriculteurs.
Encore plus de souffrance animale
Après tout, cette PAC garantit : – Un élevage plus intensif avec davantage de méga-fermes – Davantage de souffrance animale et de perturbation du climat et de la nature – Plus d’argent pour l’agrobusiness à grande échelle et l’arrêt de mort des petites exploitations familiales – Utilisation accrue des pesticides Etc.
Tiédeur
Le tableau montre clairement quelles parties se moquent du sort des animaux dans l’élevage ou de l’agriculture durable pour les générations futures. Avec, bien sûr, les chrétiens-démocrates et les fossiles néo-libéraux qui affichent clairement leurs couleurs, comme le CD&V, le Cdh, le CSP, le MR, l’Open VLD et le Vlaams Belang, et, également, la N-VA qui semble faire preuve de tiédeur et de flou. Ce tableau peut déjà vous servir de guide pour savoir quand vous pourrez à nouveau vous rendre aux urnes.
Une certaine excitation règne actuellement car la London School of Economics a officiellement confirmé scientifiquement que les crustacés tels que les homards, les crabes et les crevettes, ainsi que les céphalopodes tels que les pieuvres, souffrent de la douleur, ce qui les place désormais dans la catégorie des animaux sensibles et conscients. En conséquence, le gouvernement britannique envisage de rendre obligatoire l’étourdissement de ces animaux avant l’abattage. La pratique culinaire courante consistant à les faire bouillir vivants ou à les couper en morceaux vivants serait donc interdite par la loi.
Vote européen
Il est bon de se rappeler qu’en janvier 2021, le Parlement européen a voté un amendement visant à interdire la cuisson à vif des homards et des crabes.
Une telle interdiction est en vigueur depuis plus d’un an en Suisse, par exemple.
Une large majorité (359) du Parlement européen a voté contre. Cela signifie qu’en 2021, la grande majorité des membres du Parlement européen s’expriment favorablement à ce que ces animaux meurent d’une mort atroce dans l’eau bouillante. Cela ne nous surprend pas, nous savons que le Parlement européen est un bunker où les conservateurs à l’ancienne sont en général aux commandes, même depuis le progrès des fractions vertes après les dernières élections.
Député.e.s belges
Et les députés européens belges ? Les gens pour lequel les Belges ont voté ? Ils pensent eux aussi que la cuisson vivante est une bonne chose, à en juger par le nombre effroyablement faible de votes en faveur de l’amendement (seulement 5 sur 20). Kathleen Van Brempt (Sp-a) et Marc Tarabella (PS), par exemple, considèrent que la mort horrible des crustacés mérite même des applaudissements, à en juger par leurs votes contre. Quel scandale ! La grande majorité des autres parlementaires, y compris le Vlaams Belang au complet, qui avait créé son faux Parti pour les Animaux de Flandre juste avant les élections de 2019, se sont abstenus. La N-VA, le parti qui fournit le soi-disant ministre du bien-être animal en Flandre, s’est également abstenue en bloc. Cela signifie qu’ils sont d’accord et qu’ils laissent faire en détournant le regard, par une indifférence froide ou à raison de petits jeux politiques.
Voyez le tableau pour les détails.
Voici, en l’an 2021, le portrait du poids des intérêts des animaux dans la politique belge.
Ne vous laissez plus berner. Choisissez un nouveau parti qui se range résolument du côté des animaux et de la planète. Rejoignez DierAnimal. #dieranimal #partipolitique #animaux #belgique #europe #animalpolitics
Votre jardin est-il officiellement classé comme terrain de chasse ?
Désenregistrement
La chasse est autorisée dans toutes les régions de notre pays, sauf dans la région de Bruxelles Capitale.
Légalement, les chasseurs sont autorisés à chasser pendant la saison de chasse officielle sur toutes les terres enregistrées comme terrains de chasse.
Mais saviez-vous que la plupart des jardins privés font également partie du domaine de la chasse ? Les animaux sauvages risquent donc de devenir la proie d’amateurs à la gâchette facile, juste devant votre porte.
Votre jardin est-il marqué comme une zone de chasse ? Vous avez des doutes ? Contactez votre municipalité.
Vous pouvez demander à vos autorités locales de rayer officiellement votre jardin du régistre des terrains de chasse.
Discours intégral
Le lundi 18 octobre 2021, DierAnimal était également présent à Gand, sur la Place Maria-Hendrika, pour la manifestation de Animal Rights contre la chasse.
Voici le texte intégral du discours tenu par DierAnimal à cette occasion, par Peter Verhaegen, Vice-Président à cette époque:
Merci à Animal Rights de me permettre de parler brièvement au nom de DierAnimal, le parti animaliste belge. Joffrey vient de décrire l’immense souffrance que causent les chasseurs aux animaux.
La faune sauvage de notre pays densément peuplé a de plus en plus de mal à survivre. Il y a officiellement environ 30 000 chasseurs en Belgique, dont environ 13 000 en Flandre. À l’opposé de cette petite minorité de chasseurs se trouve la grande majorité des Belges qui rejettent totalement le fait de tuer des animaux sauvages pour le plaisir. Et la nature n’a pas besoin d’être régulée. L’équilibre qui se crée lorsqu’il n’y a pas de chasse est beaucoup plus naturel que lorsque les chasseurs peuvent aller de l’avant avec leurs fusils et perturber la nature.
Ce que nous trouvons également particulièrement choquant et inquiétant, c’est que certaines grandes chaînes de sport comme Décathlon, en développant un grand rayon » tout pour la chasse « , s’efforcent commercialement de vendre la chasse comme un loisir pour tous et toutes. Comme si la chasse était la même chose que le surf ou le volley-ball. La chasse n’est pas un sport, la chasse c’est tuer pour le plaisir de tuer, point final.
Un débat télévisé a récemment eu lieu entre Hélène Thouy, candidate du Parti animaliste aux prochaines élections présidentielles de l’année prochaine, et un certain nombre de partisans de la chasse. Intéressant, car les chasseurs ont proposé leurs arguments classiques pour justifier leurs plaisirs sanglants.
Je vais en présenter brièvement quelques-unes ici, afin que nous puissions en faire du bois de chauffage ensemble.
1. Argument 1 : La chasse est censée assurer la sélection naturelle en éliminant les individus affaiblis. La nature elle-même peut le faire aussi, si les prédateurs naturels ont le droit d’exister. Par contre, des animaux utilisés comme gibier sont relâchés par les chasseurs et utilisés comme cible d’entraînement. Les chasseurs perturbent également le cours naturel des choses en nourrissant artificiellement le gibier.
2. Argument 2 : La viande d’un animal sauvage abattu et laissé en liberté est une viande locale issue de la filière courte et donc meilleure que la viande issue de l’élevage industriel d’un animal qui a été maltraité et a mené une vie courte et malheureuse en confinement. C’est une erreur. Aucun animal ne mérite de finir dans notre assiette, et ce n’est pas parce que la cruauté et le meurtre sont mauvais que le meurtre lui-même tout seul est soudainement devenu moralement acceptable.
3. Argument 3 : Les chasseurs protègent les cultures des agriculteurs contre les dommages causés par les animaux sauvages. Qu’il puisse y avoir des dégâts est une réalité, mais les agriculteurs devraient prendre des mesures pour protéger leurs cultures plutôt que d’opter pour la solution de facilité au détriment de la faune sauvage.
4. Argument 4 : Les chasseurs représentent la population rurale, les gens de la campagne et sont les experts et les protecteurs des zones rurales. C’est un mensonge, car statistiquement, la plupart des chasseurs et des chasseurs amateurs sont des résidents d’agglomérations urbaines. Les chasseurs ne représentent personne d’autre que leurs propres intérêts égoïstes et à courte vue. Et ils constituent également un risque pour la sécurité des promeneurs, des riverains et des cyclistes dans la nature et le paysage.
La chasse est scandaleuse, car elle consiste à tirer sur des animaux sans aucune nécessité, par pur plaisir. Et donc, dans le contexte de la raison pour laquelle nous sommes ici aujourd’hui : – la liste des espèces chassables doit être supprimée – l’abattage d’animaux sauvages par des chasseurs amateurs doît être interdite. – la valeur et la protection de la vie sauvage doivent être le point de départ de la gestion de la nature
Cette revendication, ainsi que de nombreux autres idéaux que nous nous efforçons d’atteindre en termes de fin de la chasse, font partie de notre programme et nous continuerons à les défendre.
Nous ne savons pas si les propriétaires de l’immeuble de bureaux rénové « pompeusement durable » situé à l’angle emblématique de la rue Neuve et du boulevard du Botanique à Bruxelles étaient satisfaits de voir leur nouveau locataire emménager dans deux niveaux au rez-de-chaussée …
Le maillon manquant
Sur le toit du bâtiment : le « hamac », une construction voyante dotée de panneaux solaires qui lui confèrent une aura de durabilité. Et au sol : la chaîne de restauration rapide KFC, l’un des champions mondiaux du gaspillage alimentaire et de la cruauté envers les animaux. En conséquence, le bâtiment est devenu un véritable symbole du « passer la serpillière avec le robinet ouvert », du maillon manquant de la réflexion sur le climat : après tout, la solution ne viendra pas (seulement) des tours de force technologiques de haut vol, mais d’interventions osées à la base de notre système économique.
Révolution alimentaire
La nécessité de réduire l’élevage et de réformer notre système alimentaire pour passer à un système agricole circulaire à base de plantes en harmonie avec la nature ne passe pas auprès des politiciens d’aujourd’hui, et est souvent absente dans les revendications de beaucoup de guerriers du climat. Rien que pour cette raison, le drapeau de DierAnimal flottera aussi lors de la marche pour le climat à Bruxelles le dimanche 10 octobre.
Serez-vous là aussi ? Rejoignez le mouvement mondial des partis animalistes qui veulent une #RevolutionAlimentaire #FoodRevolution. Choisissez votre langue et signez la pétition ci-dessous.
Chaque année, le 4 octobre, on fête la Journée mondiale des animaux.
Pour nous, CHAQUE jour est la Journée mondiale des animaux pour TOUS les animaux.
S’exprimer ouvertement
Même si le 4 octobre coïncide symboliquement avec la journée dédiée à Saint-François d’Assise, nous savons que la religion chrétienne, tout comme la plupart des autres réligions monothéistes, n’a jamais démontré un intérêt pour les animaux, leurs droits ou leurs statuts.
Heureusement, les temps changent. Travaillons ensemble pour faire de ce monde un endroit meilleur pour tous les animaux. Chacun d’entre nous, sans distinction, peut faire une différence pour les animaux.
Nous décidons chaque jour pour nous-mêmes si nous nous exprimons ouvertement en faveur des opprimés ou si notre silence reste un outil indispensable du statu quo.
S’exprimer
Selon les mots d’Alice Walker, écrivaine et féministe :
« Les animaux de ce monde existent pour leurs propres raisons.
Ils n’ont pas été créés pour les humains, tout comme les noirs n’ont pas été créés pour les blancs et les femmes n’ont pas été créées pour servir les hommes. »
Que pouvez-vous faire ?
Engagez-vous dans la cause des animaux.
Participez à des actions concrètes ou rejoignez une organisation qui œuvre pour les animaux, leurs droits et leur bien-être.
Vive la cuisine végétale, tous les jours de la semaine !
Ceux qui choisissent de manger végétarien et excluent déjà la viande et le poisson du menu, exercent chaque année une influence saine considérable sur l’environnement:
– Beaucoup moins d’animaux tués.
– D’énormes quantités d’eau potable économisées.
– L’émission de grandes quantités de CO2 et autres gaz à effet de serre évitée?
– Sauvegarde de vastes zones de terres agricoles.
Voici votre pouvoir en tant que consommateur.
Heureux
Commencez aujourd’hui. Commencez par éliminer progressivement la viande et le poisson. Et continuez jusqu’à ce que les animaux aient complètement disparu de votre assiette.
La première étape consiste souvent à passer à une alimentation végétarienne. C’est un bon premier pas. De nombreux végétariens pensent que la question est réglée. Ils pensent qu’il n’y a rien de mal à consommer des produits laitiers et des œufs d’origine animale. Cependant, c’est le résultat de l’ignorance de la barbarie des industries du lait et des œufs. Une fois qu’ils en ont pris conscience, les végétariens sont plus qu’heureux de passer au véganisme.
Quelques revendications
– Nous voulons que le lien entre la consommation de viande et le dérèglement climatique soit officiellement reconnu au niveau politique.
– Nous aimerions que la TVA sur les fruits et légumes passe à 0 %.
– Nous voulons que les subventions à la consommation de viande soient supprimées, et nous voulons que l’UE fournisse des messages honnêtes et cohérents sur cette question.
Fin septembre 2021, Animal Rights a rappelé au ministre Ben Weyts une vieille promesse de ne plus garder les poules pondeuses en cage. Une promesse de 2018. Le moment n’a certainement pas été choisi au hasard, car dans le plus grand incendie de grange jamais connu dans notre pays, le mardi 14 septembre à Sint-Niklaas/Saint-Nicolas, pas moins de 165 000 poulets ont perdu la vie. Enfermés dans leurs misérables cages exiguës, ils ont été carbonisés vivants. La presse a parlé de « l’œuvre de toute une vie de Wim (l’éleveur) qui est partie en fumée ». Comme toujours dans la presse grand public, pas un milligramme de sympathie pour les poulets brûlés.
Une activité marginale
Merveilleux de la part de Animal Rights, pour rappeler une fois de plus au ministre flamand du bien-être animal ce qui devrait être sa tâche principale : libérer les poulets et autres animaux de ferme des souffrances inutiles infligées par tous les systèmes de cages dans l’industrie de l’élevage. Cela devrait être évident, n’est-ce pas ?
Si ce n’était que le véritable bien-être animal reste une activité marginale pour nos ministres du BEA. Tout au plus, il y aura une « grande annonce au moment du budget » juste avant une élection, pour ensuite s’enliser dans un silence pendant des années. Nous ne devons pas attendre que la lente machine de l’UE réponde (peut-être) positivement à l’initiative citoyenne Stop The Cage Age/Stop Aux Cages signée par plus de 1 400 000 personnes. Chaque région, chaque pays peut faire preuve d’ambition pour que cela devienne une réalité beaucoup plus tôt et à plus grande échelle.
Protection légale
Les seuls pays où le bien-être animal figure systématiquement et sérieusement à l’ordre du jour politique sont ceux où de véritables politiciens pour les animaux siègent dans les parlements et les organes directeurs. Regardez les exemples aux Pays-Bas, au Portugal, en France, en Australie… Là-bas, la protection juridique et légale progresse beaucoup plus rapidement.
Êtes-vous d’accord pour dire que les animaux sont des individus et non des biens de consommation ou des marchandises ? Rejoignez le mouvement international croissant des partis animalistes qui donnent aux animaux et à l’environnement la protection juridique et politique qu’ils méritent. Rejoignez DierAnimal.
Crédits Photo : Photo à gauche: Animal Rights; Photo à droite: Tom Woollard/We Animals Media #dieranimal #animaux #animauxlibres #animalrights #droitsdesanimaux #StopAuxCages #partianimaliste #animalpolitics #teamplanet
Que fait un chef de gouvernement pour réduire davantage les risques de zoonoses mortelles ? Ou pour ralentir le réchauffement climatique ?
Si l’on s’en tient à l’exemple de notre propre Premier ministre fédéral Alexander De Croo, nous serions en très, très mauvaise compagnie en Belgique. Sa visite de charme, mise en évidence de manière publique sur sa page Facebook, est un véritable hymne aux augmentations d’échelle dans l’élevage et l’industrie laitière.
Générations futures
En Belgique, la politique classique consiste toujours à serrer des mains et à se faire des petits amis au lieu de prendre des mesures parfois impopulaires avec volonté et détermination qui donneraient au moins une perspective d’espoir à notre jeunesse et aux générations futures.
Nous nous demandons ce que toutes les victimes belges des récentes inondations catastrophiques doivent penser de tant de frivolité dans la politique belge sur les causes du dérèglement climatique.
Moteurs principaux
On estime que l’épidémie de la fièvre Q survenue dans des exploitations caprines entre 2007 et 2010 aux Pays-Bas a infecté entre 50 000 et 100 000 Néerlandais. Des milliers d’entre eux sont tombés malades et certains en subissent encore les conséquences aujourd’hui.
L’industrie laitière, l’élevage intensif et l’industrie de la viande sont l’un des principaux moteurs du réchauffement climatique et provoquent une grave pollution des sols, la déforestation, une sévère pollution des eaux de surface et des eaux souterraines dans le monde entier. Depuis des décennies, la qualité de l’eau en Flandre est et reste l’une des pires au monde.
Pour le lait de chèvre, il faut mettre les chèvres en gestation et, à chaque naissance, les séparer immédiatement de leurs petits pour donner le lait aux humains.
Stop au « Business as usual »
Choisissez votre camp.
Les animaux sont des individus, pas des machines à traire. Rejoignez le mouvement de protestation croissant qui estime que le « business as usual » doit cesser. Rejoignez DierAnimal. #dieranimal #animaux #droitsdesanimaux #politique #partianimaliste #climat #criseclimatique #zoonose #animalpolitics #teamplanet