
Malgré le plan de compensation dégressif du gouvernement flamand, les cinq derniers éleveurs de visons en Flandre choisissent de continuer jusqu’au bout : fin 2023.
Le profit avant la santé publique
La fourrure est si rentable, avec un prix estimé à 70 euros par peau de vison, que ces entrepreneurs choisissent, contre tout bon sens et toute considération sanitaire, de continuer à exposer leur personnel et les riverains au risque accru pour la santé publique que représente l’exposition au COVID-19, qui a été démontré à l’étranger. Le COVID-19 se transmet facilement entre les visons et entre visons et humains.
En raison de ce risque sanitaire, toute l’industrie de l’élevage de visons a été immédiatement supprimée aux Pays-Bas et au Danemark.
Une interdiction totale du commerce de fourrure est nécessaire
Il ne suffit pas de démanteler l’industrie de la fourrure. Il doit y avoir une interdiction totale du commerce de tous les produits en fourrure en Europe.
En outre, le premier vaccin COVID pour les animaux a été enregistré en Russie.
Le vaccin est commercialisé sous le nom de Carnivac-Cov dans le but de vacciner les animaux tels que les renards et les visons dans les fermes à fourrure afin que cette industrie pathogène puisse continuer à exister. Des entreprises de Grèce, d’Autriche et de Pologne ont déjà manifesté leur intérêt.
STOP FOURRURE. STOP AU COMMERCE DE FOURRURE
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