Réseau d’habitats naturels

DierAnimal appelle toutes les municipalités belges à garder leurs terres hors des mains du lobby de la chasse et à créer ainsi un vaste réseau d’habitats naturels où les humains et les animaux peuvent vivre côte à côte dans un respect mutuel.

Deux exemples

Diest choisit et perd.
La ville de Diest a décidé d’ouvrir tous ses domaines municipaux à la chasse et, à cette fin, de les louer aux chasseurs pour une somme ridicule.

Inacceptable ! Le conseil municipal ne tient compte que des plaintes vagues et douteuses concernant les « dommages » et les « nuisances » causés par les animaux. Au lieu d’investir dans des mesures réelles qui favorisent la coexistence non violente entre les animaux et les humains.

La plupart des « réclamations pour dommages » sont dues à une tendance exagérée à tout garder « propre » et rigide, et à ne considérer la réalité qu’en termes financiers.
Devons-nous parler des dommages causés par l’homme aux habitats naturels dans le monde entier, qui ne sont jamais « quantifiés » ?

Une approche différente est possible !
Sint-Katelijne-Waver réfléchit et gagne !
La commune de Sint-Katelijne-Waver a donné le bon exemple en retirant tous les domaines communaux de la carte des zones de chasse pour des raisons de nuisance par les chasseurs et de bien-être pour les riverains. Bravo !

Le faux bien-être animal

Revenons au cas de Diest. Lorsqu’un membre du conseil lui a demandé si la ville de Diest pouvait encore porter le label de qualité « commune respectueuse des animaux », l’échevine actuelle du bien-être des animaux, Pascale Vanaudenhove (liste libérale Open Diest), a répondu qu’il n’y avait aucun problème, car « dans la définition d’une commune respectueuse des animaux, rien n’est mentionné concernant la chasse ou la gestion par la chasse. »

Le label de qualité existant « commune respectueuse des animaux » est donc totalement inutile, car il ne dit rien sur la chasse. Il y a donc d’énormes lacunes. Comme beaucoup d’autres labels de qualité, ce n’est qu’un écran de fumée et certains groupes de pression maintiennent des pratiques répréhensibles et peu respectueuses des animaux, couvertes par un label de qualité qui n’est qu’une boîte vide.

Des lois meilleures

Les échevin.e.s du bien-être animal pourraient faire un pas de plus, mais ils préfèrent souvent faire l’autruche parce que « c’est selon les règles ».
C’est en effet là que le bât blesse.
Ce qui est écrit dans les règles est insuffisant. Les règles doivent être réécrits et les lois modifiées.

Nous voyons à travers les apparences !
Les chasseurs n’ont rien à chercher dans les domaines municipaux.
Tuer les animaux n’est jamais une option.
Dans un petit pays à forte densité de population comme la Belgique, les animaux ont plus que jamais le droit à l’espace.
La planète et l’espace vital n’appartiennent pas qu’aux humains seuls.

Vous y croyez aussi ?
Rejoignez DierAnimal et le mouvement international des partis animalistes, qui ne cesse de croître, et qui part d’un postulat totalement différent, selon lequel les humains, les animaux et la planète doivent être considérés comme des partenaires égaux.
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Pour une cohabitation respectueuse

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